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Cako

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12 avril 2009

Auto-crasse

Les affaires reprendront quand mon clavier aura de nouveau son accent circonflexe. Vivement le Macbook...

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10 mars 2009

Harvey Milk, c'est bien. A voir absolument. (!!!)

Harvey Milk, c'est bien. A voir absolument. (!!!)

Ce que pensent les hommes, l'est beaucoup moins.

" If a bullet should enter my brain, let that bullet destroy every closet door " Harvey Milk (le vrai)

9 mars 2009

Autopub

Au terme de ce bac blanc dans une poignée de jours, quelques bonnes nouvelles, quelques critiques (Harvey Milk et Ce que pensent les hommes), quelques histoires... vous attendent. Si vous le voulez. Au passage, saluez mes nouveaux amis.

teletubbie

2 mars 2009

Humeur nasale.

N.A.S.A - Spirit of Apollo
Trainant depuis quelques semaines dans ma discothèque électronique ( sortie le 16 février dans les bacs ), je tiens à faire cet article car je viens d'entendre une chanson de l'album dans le générique de Pub du Grand Journal. Et je veux rester dans l'ère du temps malgré tout. Alors nous voici nous voilà, N.A.S.A ce n'est pas ce qu'on croit être de prime abord. A défaut d'être une agence gouvernementale américaine spatiale, ici N.A.S.A c'est North America South America.

Diantre qu'est-ce que ça veut dire tout ça?
N.A.S.A est donc un projet entre deux DJ's américains qui décident de réunir  une pléthore d'artistes en tout genre pour déballer un album invraisemblable et détonnant.

Tout d'abord, marque par sa laideur, voyez par vous-même :

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Enfin, nous ne sommes pas là pour juger l'esthétique du duo, méchant que je suis. Décollage, voyons si le voyage en vaut la peine.

L'album est le fruit d'une collaboration entre diverses artistes hip-hop/rap en majeur partie américains, mais aussi de musiciens de diverses horizons tels George Clinton un des pères fondateurs du funk avec les groupes Parliament et Funkadelic (!!!), la petite suédoise internationale Lykke Li, l'ancien britannique de la new wave de Talking Heads au nom de David Byrne, des brésiliens comme Seu Jorge (génial dans le film The Life Aquatic reprenant du Bowie!) et Lovefoxxx chanteuse de CSS...  enfin bref déjà du beau monde. Coté hip-hop c'est plus ethnocentrique avec Kanye West, Fat Lip ou bien encore Santogold.
Bon, après un casting digne de Disneyland, voyons à quoi tout ce beau monde peut-il aboutir.

Eh bien, rien de folichon mes amis! L'album marque par sa trop forte hétérogénéité, un manque d'identité en soi. Bien que l'album joue sur divers horizons musicaux entre hip-hop, rap, électro, funk, on ne peut trouver de plaisir seulement car rare sont les opportunités d'avoir autant d'artistes réunis parfois dans une seule et meme chanson. Gifted avec Kanye West, Santogold et Lykke Li en est le meilleur exemple tant il est reprit par une chaine privée nationale.
Pourtant, le résultat n'est pas désagréable pour autant, cette chanson joue vraiment sur les qualités de chaque artiste pour en tirer le meilleur. D'autres comme Way Down (avec John Frusciante des Red Hot dont on remarque la patte), The People Tree et Money, marquent par leur groove efficace et puissant.
L'album se révèle donc plus etre un album de démonstration mégalomane qui ne prouve finalement qu'une chose : rassembler pleins de talents ne fait pas un super album. La recette est peut-etre à revoir. Après de nombreuses écoutes, une originalité auquelle on aurait pu s'attendre à l'avance n'est pas finalement au rendez-vous.
Et si nous n'avons aucune attente vis-à-vis de cet album? Cet album est probablement pour vous.

22 février 2009

_

Le samedi soir c'est génial. Saturday night fever yeah. Tout le monde sort, tout le monde se donne rendez-vous, c'est le week-end, c'est la fete et mon clavier ne fait toujours pas les accents circonflexes.
Insociable que je puis etre, le samedi soir a souvent été le rendez-vous intime entre mon ordinateur et moi, un véritablement moment d'intimité voué à la plus pure et profonde introspection. Palpitant je vous l'assure!

Ces moments là sont surtout ceux où nous sommes dépourvus de quelconque motivation. Pas envie d'écouter d'album, de voir de film, d'entamer un bouquin, de gratter ses instruments. Simplement errer l'air béat sur quelques réseaux sociaux  où d'autres dans la meme situation se retrouvent sur le meme site que vous et lachent tous la meme pourriture qu'ils ont en leur "moi" intérieur.
Pour preuve :

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J'ai tenté de "flouter" les noms pour préserver leur anonymat.

Bref, regardez cette belle capture d'image et vous pouvez dès lors constater que c'est l'apocalypse le samedi soir chez Facebook, le célèbre réseau social revet son masque d'association des dépressifs anonymes. En effet, à l'heure où FB fait fortement l'objet de polémiques sur la vie privée, les données personnelles etc... c'est apparemment l'endroit privilégié des d'jeuns pour montrer leur désarroi le plus intense.
Entre commère, concierge, informateur, médiateur et plaque tournante de dossiers en tout genre on ne s'étonnera plus du succès de FB.

Après le long tarissement de Myspace qui tente de survivre, quand viendra le tour de Mr. FB? Qu'adviendra t-il de nouveaux réseaux sociaux nouvelles générations? Que peut-on espérer?

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21 février 2009

* Il est difficile de se brosser les dents le nez

* Il est difficile de se brosser les dents le nez bouché.
* Manu militari.
* Mr. Hiver repart, nochalamment, mais content de lui. Quant à Mr. Printemps, lui, encore hésitant, prend la place de Mr. Hiver en espérant être à la hauteur.
* I want to jump in a pool in Paris.
* Peut-on écrire l'histoire du présent?
* L'épitrochasme tue.
* Il y a des travaux aux Arcades, et ça, ça tue les narines.
* Mes voisins brulent une partie de leur maison qui est en tôle, c'est carrément psychédélique.

13 février 2009

LatiKa!

Parmi ce court inventaire de films que j'ai vu récemment, un seul se détache réellement du lot, et ce n'est pas sans surprises. Parmi ces quelques films figurent Yes Man et sa positive attitude simpliste et quelque peu capilotractée, Twilight et ses charmants vampires, Meilleures ennemies...

Oui je tiens à vous précisier pour ce film.
Je me suis rendu au cinéma, accompagné, afin de voir Sept Vies. Or le cinéma ne le passait plus. Donc, tant qu'on y était, il fallait bien voir un film... Et bien, il y avait l'embarras du choix. Entre Volt franchement pas attirant rien qu'en voyant le non-charisme du chien en tête d'affiche, et LOL ( rien que le titre est déjà à PTDR [sic] ) franchement franchouillard avec le synopsis d'allociné me donnant guère envie de le voir, tant ça pue le stéréotype adolescent à mille bornes.
Revenons à nos moutons. Nous nous sommes donc résolus à aller voir Meilleures Ennemies. En VF. En Version Française. En VF. Malheur. PLUS JAMAIS je n'oserai remettre le pied dans une salle en VF. Déjà, pour la bonne raison qu'en VO, y a rien de mieux. Puis, en VF, le public change. Et c'est peut-être LE point crucial. Etrangement, on y trouve des gens non-éduqués, malpolis, qui tutoient et insultent de " Sa**pe" des adultes de 30 ans de plus qu'eux pour un rien, qui parlent à voix haute, et j'en passe.
A vrai dire, j'ai remarqué que ce n'était pas un cas isolé, hier même au théâtre 13, lors de la représentation de Sa Majesté des Mouches, je fus totalement effaré à l'idiotie de certains (venus avec leur classe) ricanant aux scènes tragiques tandis que d'autres se permettaient de commenter la pièce de long en large. Je vais finir par être condamné à aller voir des pièces d'auteurs et des films d'arts essais pour être sûr d'avoir un public éduqué, calme et silencieux. Bien que ces pièces et films me sont totalement difficiles d'accès bien que je ne doute pas de leur profonde essence...
Pour parachever cette première série de digressions, Meilleurs Ennemies est un film à éviter. Ce film est prévisible, se cherche un humour désespérément introuvable ou à demi-mot, joue sur l'amitié fille/fille avec grossièreté et sur un quiproquo plus qu'attendu... On pourrait néanmoins avouer que c'est un film qui ne prend guère la tête, et qu'il fait parfois mais rarement rire. Ça revient cher le rire. Niais et gentil.

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    Bref, trève de tergiversations, l'unique film m'ayant réellement marqué est Slumdog Millionaire. L'histoire raconte comment, à travers divers flashbacks, Jamal, 18 ans, arrive à gagner la somme maximale au jeu télévisée mondialement connu " Qui Veut Gagner des Millions? " version hindoue. Arrêté par la police locale pour accusation de tricherie avant l'ultime question, cet interrogatoire nous permet de revivre comment Jamal a pu répondre aux questions posées alors qu'il n'est qu'un jeune garçon né dans les bidonvilles de Mumbai, sachant que la culture des castes en Inde persiste bien qu'elle ne soit pas officielle.

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Alors là, le réalisateur nous embarque dans un voyage en Inde à travers la vie du petit Jamal, d'abord enfant, adolescent, puis jeune adulte. Nous suivons alors ses nombreuses aventures diverses et variées, parfois touchantes, parfois grinçantes, anecdotiques... les émotions sont intenses, les images sont puissantes et la force de la relation fraternelle et de l'amour est remarquablement bien exposée dans ce film merveilleux. Le réalisateur nous montre une Inde tranchée, en pleine reconstruction, influencée par le modèle Occidental tout en gardant cet aspect indéniablement cru (scène de l'enfant mendiant aveugle dans les couloirs de la gare, d'une grande beauté).

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Le tout est accompagné d'une belle Bande Originale, incisive et bien placée qui suit le rythme dynamique de ce film, jonglant entre moments de tensions et de relâchements.

Pour mener à bien cette critique confuse, je terminerai en écrivant que les acteurs (locales!) jouent très bien sachant que chaque personnage à trois acteurs pour chaque période (enfance,adolescence, post-adolescence). La fin est malheureusement niaise et clichée mais en aucun cas n'anéantit le film, résolument dense et poignant.

photos: allocine.

13 février 2009

Ouuuais aah woooo wooo

Empire Of The Sun - Walking On A Dream

Il y a désormais trois mois à deux jours près, j'ai écris un article sur ce groupe Australien, Empire Of The Sun. J'ai réussi il y a quelques semaines à me procurer leur unique album au titre d'un de leur single, " Walking On A Dream  accompagné d'une superbe vidéo... (voir lien ci-dessus).
Surfant sur des effets à la MGMT, on repprocherait en effet à ces australiens une influence trop apparente de leurs compatriotes Brooklyniens. Faisons fi de ces élucubrations journalistiques et focalisons-nous désormais sur cet album faisant déjà bonne impression avec sa jaquette mixture de Star Wars, Salvador Dali et Art chinois contemporain.

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( Et la boule dans la main droite me fait penser à Dragon Ball Z... )

Outre une pochette esthétiquement réussie, l'essence même de cet album est à débattre. En effet, il semblerait que le duo australien psychédélique ait choisi de mettre sur leur myspace que leurs meilleurs chansons. Walking On A Dream est en effet un album à double-tranchant, leur tube intersidéral Walking On A Dream s'écoute dès 6h00 du matin jusqu'à la pleine lune tandis que We Are The People et Half Mast sont parfaitement bien agencée, ont des mélodies lumineuses et harmonieuse. Ormis ces trois morceaux immanquables, quelques autres tentent de sortir du lot tel que le morceau inaugural Standing On A Shore ou bien la folie tribale de Swordfish Hotkiss Night ( rien qu'à la sonorité du titre déjà... ).
Voilà, la majorité des meilleurs morceaux se trouvent au début de l'album déjà maigre en soi - 10 titres -.
Donc, de l'autre côté, des titres sans grands intérêts parfois mals mixés (Country), des arrangements instrumentaux superficiels, des balades niaises et difficilement crédibles (Without You), sont le reflets de l'autre tranche de l'album. Certains pourraient aimer cette sorte de simplicité que dégage ces deux hommes que je qualifierais volontier de mégalomanes enorgueillis de la tête au pied. Quoiqu'il en soit, cet album est à écouter sans trop d'attentes particulières et qui comptent plus sur leur image que sur leurs sons.

N'hésitez donc pas à regarder la qualité photographique et les belles images que nous présentent leurs deux clips sortis jusqu'à présent. Walking On A Dream ici et We Are The People là en dessous (vu le nombre de visionnages, soyez heureux d'être les premiers ahah)


Empire Of The Sun - We Are The People (New) [HQ]
envoyé par wonderful-life1989

8 février 2009

Petite pléthore d'artistes en tout genre

Cet article se fera sans accents circonflexes ni trémas. Vive mon PC. Vivement mon mac.

Lykke Li - Youth Novel
Un peu de retard en effet, mais mieux vaut tard que jamais. Pour ceux qui ont manqué la charmante suédoise du moment, la voici la voilà. Je vous présente Lykke Li, jeune demoiselle chanteuse pop-folk à la tessiture vocale enfantine et douce. Ça peut plaire ou déplaire, mais comme on dit : des goûts et des couleurs...
Que nenni, je considère cet album comme marquant l'année 2008 ( sans oublier In Rainbows, Oracular Spectacular, Dear Science, Antidotes... ), tant par son originalité que sa finition. Produite par les prodigieux et prolifiques Peter Bjorn & John, on ne pouvait que s'attendre un bon petit album mettant la jeune artiste au devant de la scène internationale.

Lykke_Li___Youth_Novels

A propos des chansons, Little Bit, mon réveil depuis 3 mois, n'arrive pas à me sortir de mon sommeil, mais reste malgré tout une chanson entetante et bien ficelée. Je ne parle pas de Dance Dance Dance, I'm Good I'm Gone, de la folie de My, de l'électro-pop brandissant de Complaint Department... Bref. A écouter absolument!


Découvrez Lykke Li!


Death Cab For Cutie - Narrow Stairs
Avant toute chose, Death Cab For Cutie est un de mes groupes favoris depuis ma tendre adolescence.

"Fan" de Blink 182, je devais aller à leur concert à Bercy avec en première partie un groupe au nom de DCFC. Surprise, lors du concert, ce n'est pas DCFC mais un groupe rock univesitaire de séries télévisées "Sugarcult" qui allume Bercy à coup de YEAH dans la foule. Quelque peu frustré, je mis alors à chercher ce que le groupe "Death Cab For Cutie " est. J'achète aveuglement par le suite l'album " Transatlanticism " (2003).

Le choc se fait, je découvre un groupe indéniablement indie, ancré dans la veine positive américaines, ils nous présentent une pop-indie gaie tout en évitant la niaiserie, des titres profonds et parfaitement bien agencés. Des notes de guitares jalonnent au rythme de la Gibson et de la Fender Telecaster, la batterie est présente et rythmé... Brièvement, un paquet d'ingrédients propices pour un beau gateau. Quelques années plus tard, ils reviennent avec leur dernier album en date "Narrow Stairs".

Ben Gibbard (que je confonds avec le nom de Beth Gibbons, Portishead) et consorts nous délivrent encore un album prouvant leur gain de maturité, leur évolution au fils des années. Ils osent se lancer dans quelques exercices de styles, entre effet fanfare sur You Can Do Better Than Me, la ritournelle immanquable de I Will Possess Your Heart, l'ambiance moyenne orientale de Pity And Fear en maintenant ce style indescriptible qui est leur. Nonobstant un album solidement bien construit, qui s'enchaine bien, qui forme un tout indissociable, on pourrait reprocher à certains morceaux une inanité tel The Ice Is Getting Thinner et Talking Bird qu'ils tentent de placer en guise de pause ; sans grands intérets.

Soit, je vous conseille vivement l'écoute de I Will Possess Your Heart malgré sa longueur - plus de 8 minutes! -, Grapevine Fires, Cath..., qui ont chacune leur particularité, leur ambiance, leurs sentiments... Et après tout, c'est ce qu'on peut attendre au minimum d'un album. Les Death Cab font aussi mines d'érudits tant leurs lyriques me semblent, écrivis-je légitimement, plus profondes que certains autres artistes.

Somme toute, Narrow Stairs, n'est pas de ce qu'on peut appeler un album extraordinaire, mais il ajoute néanmoins une touche d'allégresse à cette période terne et morose.

Petit bonus.

Friendly Fires - Friendly Fires

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Leur premier album, Friendly Fires, au titre éponyme sorti en début de rentrée 2008, retentit comme un petit album électro-rock comme on a l'habitude de voir. Bien qu'ils n'inventent pas l'eau chaude,une exhalaison regorgeante de vitalité post-adolescente se dégage de ce jeune groupe britannique. Enchaînant quelques chansons tubesques tels Paris et On Board dotées d'une puissance maîtrisée, l'album n'en est pas en reste. Les chansons défilent à une vitesse ahurissante, entre rythmes electro, guitares electriques fines mais puissantes, loops de synthétiseurs ingénieusement placés... voici un petit album fort sympathique dans l'air du temps.


Stuck In The Sound - Shoegazing Kids

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Bon, on a parlé d'américains, de suédois, d'anglais... Mais n'oublions pas que nous sommes des français. Pour finir cet article, je vous présente Stuck In The Sound, l'espoir de la vraie ( oui y en a une fausse, si vous voyez ce que je veux dire. Hein mes petits BBB & autres? ) scène rock française.
De vrais férus de chansons schyzophréniques, de compositions musicales sortant du simple motif couplet/refrain/couple/refrain, de lignes de guitares effrennées... Voilà entre autre la magie "Stuckienne".
Et c'est après leur album Never Mind The Living Dead terriblement bien réussi, que ces jeunes français nous pondent SHOEGAZING KIDS. On y retrouve une folie cinglante dans leurs titres, de OUAIS à Shoot shoot, emprunts d'un humour certain " Wahaaa Wouhou... ouais. ". [ Quand je pense que je n'ai pas pu aller à leur concert, que j'ai du céder mon billet... ]
Bref, trève de lamentations, cet album nous martèle l'oreille à coup d'accords puissants, de grosses caisses, de chants humanoides (Jose Reis Fontao! ). D'autres chansons, parfois aux sonorités des Cure (Beautiful Losers), parfois saturées ( What ?! ), ne sont que les preuves concrètes de leur talent à composer des chansons lancinantes et agressives toutefois teintées d'une euphorie adolescente...
Après plusieurs écoutes de cet album - les premières pouvant etre difficiles -, on ne peut que dire " je suis fier d'etre français ". Pour une fois...

21 janvier 2009

Fleet Floxes

Après Nirvana, Seattle cède plus de 15 ans après la place à d'autres hommes en cheveux longs... Cependant, nul ne sera question de guitares aux genoux, de crasses, de postillons, de cris...  Et, dans cette période hautement dédiée à l'électro, aux bidouillages, aux expériences psychédéliques, un petit groupe de jeune homme qui ramène de la douceur à cet hiver si rude.

Fleet Floxes et son indie folk mélodieux sait conjuguer mélodie, douceur et vivacité. Toutefois, on pourrait reprocher au groupe de ne rien inventer, de ne rien amener de nouveau, de ne pas innover, mais après tout, cela n'est que secondaire, car Fleet Foxes arrive à amener de l'air frais pour nos tympans tant martellés par les synthés à foison et autres boîtes rythmiques progammables.
Entre autre, nous avons ici droit à un petit cocktail folk dans cet album aussi facile à digérer que du lait Candia, on pourrait se retrouver épaté à l'écoute de ces chansons simplement efficaces par leur force et ce qu'elles transmettent.

Le 25 Février à la Cigale! ( donc si mon portefeuille me le permet... )

Ici, on retourne dans les plaines sauvages américaines d'antan ( imaginons... )
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